Cette rĂ©flexion a Ă©tĂ© amorcĂ©e par la lecture d’un article qui dĂ©plorait la mort d’une technique de tricot propre Ă une rĂ©gion d’Angleterre, lĂ , Ă propos duquel la personne qui l’a postĂ© dĂ©plore que ce n’est pas une pĂ©nurie de tricotteureuses qui cause cette disparition, mais une pĂ©nurie de personnes d’accord de bosser pour trois…